La Chambre de l’assurance a été créée le 4 juillet 2025 à la suite de la fusion de la Chambre de l’assurance de dommages et de la Chambre de la sécurité financière.

Ce que vous devez savoir :

  • À court terme, les activités de la ChAD se poursuivent normalement et tous les services sont offerts.
  • Les règlements et politiques de la ChAD sont toujours en vigueur y compris les obligations de formation continue pour la période se terminant le 31 mars 2026.
  • Les certifiés doivent continuer à intégrer les normes déontologiques des codes de déontologie dans leur pratique professionnelle.
  • Pour plus de détails, consultez la page Fusion.
i
Fermer

Fin de période en formation continue

Désolé, mais rien ne correspond à votre critère de recherche. Veuillez réessayer avec d'autres mots-clés.

Passer au contenu

Les indemnités peuvent être imposables

Date de publication : 1 décembre 2012 | Dernière mise à jour : 17 avril 2020

Ce résumé ne constitue pas un avis juridique. L’information qui s’y trouve peut ne pas refléter l’état du droit actuel.

Un couple d’assurés ayant subi la perte totale d’un multiplex loué à autrui décide, sur les conseils de l’expert en sinistre, d’accepter une indemnité en valeur dépréciée plutôt que de faire reconstruire leur bien.

L’expert en sinistre avait confirmé à plusieurs reprises aux assurés que les indemnités en assurance de dommages n’étaient pas imposables.

Or, au moment de produire leur déclaration de revenus, les assurés découvrent que l’indemnité reçue constitue un gain en capital et qu’ils devront verser plusieurs milliers de dollars en impôts.

L’enquête déontologique a permis de conclure que l’expert en sinistre n’a pas tenu compte des limites de ses aptitudes et de ses connaissances, et a induit en erreur les assurés.

Rappelons que l’incompétence d’un professionnel, quelle qu’en soit la cause, peut mener au dépôt d’une plainte au Bureau du syndic ou engager sa responsabilité professionnelle.

À retenir

  • Les indemnités peuvent être imposables dans certains cas.
  • L’expert en sinistre aurait dû conseiller aux assurés de consulter leur comptable.