CONGÉ DE PÂQUES : les bureaux de la ChAD seront fermés du 29 mars au 1ᵉʳ avril 2024.

  • Si vous vivez une problématique en lien avec la fin de période durant le congé de Pâques, veuillez nous écrire à formation@chad.qc.ca, notre équipe pourra vous répondre à son retour à partir du 2 avril. Selon la nature du problème, la ChAD fera le nécessaire pour ne pas vous pénaliser.
  • Si vous êtes certifié et que vous n’avez pas terminé vos obligations de formation continue en date du 31 mars 2024, l’Autorité des marchés financiers communiquera avec vous au début du mois d’avril pour vous indiquer les prochaines étapes.
  • Si vous êtes un dispensateur de formation et que vous n’avez pas saisi toutes les présences des formations données avant le ou au 31 mars, vous avez jusqu’au 4 avril 17 h pour saisir les présences.

 

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Quand l’impulsivité devient une infraction disciplinaire

Date de publication : 1 septembre 2011 | Dernière mise à jour : 18 avril 2020

​Ce résumé ne constitue pas un avis juridique. L’information qui s’y trouve peut ne pas refléter l’état du droit actuel.

​Une assurée, propriétaire-occupante d’un duplex, loue les chambres du logement du haut. Au retour d’un voyage d’une semaine, elle constate un dégât d’eau dans le logement, lui aussi inhabité durant cette période.

​L’assuré présente une réclamation à son assureur, puis engage un expert en sinistre public qui fait évaluer les dommages au bâtiment et règle cette partie de la réclamation avec l’expert en sinistre de l’assureur. Ce dernier s’occupe ensuite d’évaluer les pertes « biens meubles » et « revenus locatifs ».

​Au moment d’indemniser l’assurée pour la perte des revenus locatifs, l’expert en sinistre de l’assureur informe cette dernière qu’il retranche sept semaines de revenus locatifs. Il soutient qu’en engageant un expert en sinistre public, elle avait retardé le règlement du sinistre.

​Les retards dans la reconstruction n’étaient pourtant pas attribuables à la présence de l’expert en sinistre public, mais au fait que l’assurée n’avait pas compris les étapes de reconstruction. De plus, il a été démontré que l’expert en sinistre de l’assureur n’avait fait aucune démarche auprès de l’assurée pour que les travaux de reconstruction débutent.

​Une plainte a donc été déposée contre l’expert en sinistre de l’assureur qui a plaidé coupable.

​Avant d’agir, il est donc essentiel de bien connaître tous les éléments d’un dossier et de ne pas agir sous le coup de l’impulsivité.