CONGÉ DE PÂQUES : les bureaux de la ChAD seront fermés du 29 mars au 1ᵉʳ avril 2024.

  • Si vous vivez une problématique en lien avec la fin de période durant le congé de Pâques, veuillez nous écrire à formation@chad.qc.ca, notre équipe pourra vous répondre à son retour à partir du 2 avril. Selon la nature du problème, la ChAD fera le nécessaire pour ne pas vous pénaliser.
  • Si vous êtes certifié et que vous n’avez pas terminé vos obligations de formation continue en date du 31 mars 2024, l’Autorité des marchés financiers communiquera avec vous au début du mois d’avril pour vous indiquer les prochaines étapes.
  • Si vous êtes un dispensateur de formation et que vous n’avez pas saisi toutes les présences des formations données avant le ou au 31 mars, vous avez jusqu’au 4 avril 17 h pour saisir les présences.

 

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L’importance de connaître les normes d’acceptation de l’assureur

Date de publication : 1 mars 2013 | Dernière mise à jour : 17 avril 2020

​Ce résumé ne constitue pas un avis juridique. L’information qui s’y trouve peut ne pas refléter l’état du droit actuel.

​Des problèmes financiers poussent une assurée à obtenir une deuxième hypothèque auprès d’un créancier considéré comme non standard. Elle en fait état à son courtier qui le déclare à l’assureur. Après avoir vérifié le dossier de crédit de l’assurée, l’assureur manifeste au courtier son intention de se retirer du risque.

​Le courtier trouve un autre assureur. L’assurée signe une demande de résiliation de son contrat d’assurance habitation actuel, ainsi qu’une proposition avec le nouvel assureur.

​Quelques jours plus tard, sa maison est ravagée par un incendie. L’assurée apprend que son contrat d’assurance habitation n’était pas en vigueur. La soumission fournie au courtier était en effet conditionnelle à la réception de renseignements additionnels, notamment un consentement à la vérification du dossier de crédit de l’assurée.

​Le courtier constate ne pas avoir fait suivre à l’assureur les renseignements requis. Il fera des pieds et des mains pour que l’assureur accepte le risque, sans succès. Le nouveau contrat d’assurance n’était pas en vigueur avant l’incendie et le courtier n’avait pas le pouvoir de lier cet assureur sous standard.

​Cette grossière négligence professionnelle aura causé un préjudice majeur à l’assurée qu’il tentait de protéger.